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Date de sortie : 1998

Paroles

  • Le village est muet 

    on pleure deux amoureux 

    la brise parle d'eux 

    délivrant ses secrets

     

    Elle disait soit patient 

    il faut que tu comprenne 

    regarde la lune pleine 

    je peux en dire autant

     

    J’attendrai patiemment 

    en attisant le feu 

    « jamais tu n'aura froid 

    ma belle j’en fait le vœu »

     

    Murmure et serment

    Dans le bleu firmament 

     

    Le tout premier amour 

    refait le monde à deux

    II respire des étoiles 

    et brille comme un aveu

     

    Elle était fleur fébrile 

    tombé dans le ruisseau 

    iI s'enfuit en forêt 

    la rejoindre aussitôt

     

    On trouva dans sa lettre 

    L’éclair et la tempête 

    un arbre foudroyé 

    et un grand désespéré

     

    Murmure et serment

    Dans le bleu des tourments

     

    C’est Roméo et Juliette

    à des années lumières 

    et le temps qui s’arrête 

    tout près d’une frontière

     

    Le village est muet 

    on pleure deux amoureux 

    il arrive que la nuit 

    la brise me parle d'eux

     

     

     

    Murmure et serment

    Dans le bleu firmament

     

    Murmure et serment

    Dans le bleu des tourments

     

    Réalisation : Toby Gendron

    Arrangements : Alain Sauvageau

    Claviers et programmations : Alain Sauvageau

    Guitares : Pierre Coté

    Basse et stick : Mario Légaré

    Percussions : Michel Dupire

    Violoncelle : James Darling

    Enregistré et mixé au studio Mon

    Paroles & musique : Richard Séguin

  • Paroles : Élodie Piacentino | Musique : Daniel Lavoie

    J’avais peur et les fleurs se fanaient sur les murs

    La nuit après la nuit où tout était si dur

    Quelques mots dans un rêve que je revis toujours

    "Si je meurs je te promets je t'envoie de l'amour"

     

    Notre enfance étouffée dessous les escaliers

    Ton rire écorché aux marches des greniers

    P'tites vies, p'tit riens, qu'on nous volait pourtant

    Petite sœur tu savais que l'on oublierait pas

     

    Anna c'était l'hivers je crois

    Anna les chiens le bruit de pas

    Anna j'ai peur le train s'en va

    Anna te souviens tu de moi?

     

    Des loups hors des forêts j'étais collée à toi

    Et la brume s’est levée et tu n’étais plus là

    P’tite sœur souviens-toi je savais pleurer

    La nuit après la nuit ou je n’t’ai plus trouvée

     

    J’ai fait mille fois ce rêve et ce vieux passé

    P’tite sœur dis-moi que j’ai rêvé

    Dis-moi qu’il n’y a pas de nuit après la nuit

    Je dirais qu’c’est vrai, je dirai comme tu dis

     

    Anna c'était l'hivers je crois

    Anna les chiens le bruit de pas

    Anna j'ai peur le train s'en va

    Anna te souviens tu de moi?

     

    Chanson d’une petite fille emmurée dans mon rêve

    P’tite sœur où personne, vieille image ou chimère

    Anna depuis l’enfance je n’ai fais que rêver

    Ton nom est le sel de tous mes encriers

     

    Anna les hivers sont moins froids

    Anna les chiens ne sont plus là

    Les trains ne font plus peur tu vois

    Anna je t’aime ne m’oublie pas

     

    Anna les hivers sont moins froids

    Anna les chiens ne sont plus là

    Les trains ne font plus peur tu vois

    Anna je t’aime ne m’oublie pas

     

    Réalisation : Sylvain Clavette/Michel Pépin

    Arrangements : Michel Pépin

    Guitares, basse : Michel Pépin

    Batterie, percussions, claviers : Sylvain Clavette

    Chœurs : Michel Pépin, Luce Dufault

    Enregistré et mixé au studio Frisson

    Mixage : Luce Papineau, Michel Pépin, assisté de Don Murnaghan

    Prise de son : Luc Papineau

  • Ainsi

    Sans rien dire

    Voilà que tu nous quitte

    Âme blessée 

    Cœur en déroute

     

    Ainsi

    Sans prévenir

    Voilà que tu prends la fuite

    Pour chercher

    Une autre route

     

    Attend ne t’en vas pas

    Il n'y a rien de l'autre bord

    Attend ne t’en vas pas

    Fais moi l'amour avant la mort

     

    Ainsi

    Tu sépares

    Ta raison de la mienne

    Tu préfères

    La perdre ailleurs

     

    Ainsi

    Est-il trop tard

    Pour que l'été revienne

    C'est l'hiver

    À crève cœur

     

    Attend ne t’en vas pas

    Il n'y a rien de l'autre bord

    Attend ne t’en vas pas

    Fais moi l'amour avant la mort

     

    Le ciel se brise 

    La neige fond

     

    Attend ne t’en vas pas

    Il n'y a rien de l'autre bord

    Attend ne t’en vas pas

    Fais moi l'amour avant la mort

     

    Ainsi 

    Tu dénoues

    Ma vie comme un foulard

    Dans le froid

    De ton silence

     

    Ainsi

    Tu fais de nous

    Les amants du désespoir

    Un éclat

    De ta souffrance

     

    Réalisation et arrangements : Michel Pépin

    Guitares, basse : Michel Pépin

    Batterie, percussions : Serge Lapointe

    Chœurs : Michel Pépin Luce Dufault

    Mixé et enregistré au studio Frisson :

    Mixage : Michel Pépin assisté de Don Murnaghan

    Prise de son : Michel Pépin et Don Murnaghan

    Paroles : Roger Tabra | musique : Michel Pépin

  • Tu dis que mon nom ressemble à la lumière

    Mais tu sais pourtant que je marche dans la poussière

    Les pieds nus, comme une bohémienne

    Et je regarde plus la terre que tout le ciel

     

    Tu dis qu' la vie, c'est "tu gagnes ou tu perds"

    Et que  l'amour, c'est une partie de poker

    Mais moi je ne joue pas à ce jeu-là

    Moi je préfère jouer avec mon chat

     

    T’aurais pas du entrer dans ma vie

    T’aurais pas du fouler le sol de mes nuits

    T’as pas compris que même les grandes filles

    Ça joue à la poupée mais ça joue pas aux billes

    T’aurais pas du me demander tant de choses

    Comme le nom ou la couleur des roses

     

    Tu dis que l'amour, c'est pas chacun pour soi

    Mais tes beaux discours, Si tu crois que je les croie

    Les gens comme toi, je les connais par cœur 

    Ca dessine même le noir en couleur

     

    Tu dis qu'un jour, on prendra le même bateau

    Que t'as le pied marin, même Si t'aimes pas l'eau

    C'est naviguer dans tes bras qui me plaît pas

    J'ai le mal de mer, surtout quand tu t'en vas

     

    T’aurais pas du entrer dans ma vie

    T’aurais pas du fouler le sol de mes nuits

    T’as pas compris que même les grandes filles

    Ça joue à la poupée mais ça joue pas aux billes

    T’aurais pas du me demander tant de choses

    Comme le nom ou la couleur des roses

    Comme le nom ou la couleur des roses

     

    Tu dis que mon nom ressemble à la lumière

    Mais tu sais pourtant que je marche dans la poussière

    Les pieds nus, comme une bohémienne

    Et je regarde plus la terre que tout le ciel

     

    T’aurais pas du entrer dans ma vie

    T’aurais pas du fouler le sol de mes nuits

    T’as pas compris que même les grandes filles

    Ça joue à la poupée mais ça joue pas aux billes

     

    T’aurais pas du entrer dans ma vie

    T’aurais pas du fouler le sol de mes nuits

    T’as pas compris que même les grandes filles

    Ça joue à la poupée mais ça joue pas aux billes

    T’aurais pas du me demander tant de choses

    Comme le nom ou la couleur des roses

    Comme le nom ou la couleur des roses

    Comme le nom ou la couleur des roses

     

    Réalisation : Sylavain Clavette

    Arrangements : Sylvain Clavette

    Guitares : Claude Fradette

    Basse : Maurice Soso-Williams

    Batterie, percussions : Sylvain Clavette

    Percussions : Michel Dupire

    Enregistré et mixé au studio Le Divan Vert

    Mixage : Joe Petrella

    Prise de son : Sylvain Clavette

    Prise de son additionnelle : Michel Lambert, Michel Pépin

    Paroles : Thierry Séchan | Musique : Daniel Lavoie

  • Je l'ai vu l'amour 

    à la fin du jour

    un nuage frileux 

    dans un ciel tout bleu

     

    tu tenais ma main 

    au bord du ravin 

    je buvais du vin 

    je riais enfin

     

    Je l'ai vu l'amour 

    tout en haut d'une tour 

    Tristan et Iseult 

    en habits soyeux

     

    Et tes yeux chantaient

    Et moi je dansais

    Et tes yeux chantaient

    Et tout recommençait

     

    l'ai vu l'amour 

    au ciel de ton lit 

    et nous étions sourds 

    au monde, à son bruit

     

    Je l'ai vu l'amour 

    c'était aujourd'hui 

    même à contre-jour 

    y avait plus de nuit

     

    Et tes yeux chantaient

    Et moi je dansais

    Et tes yeux chantaient

    Et tout recommençait

     

    Il faut presque rien

    Pour toucher un rêve

    Quelques heures de fièvre

    Et un lendemain

    Et tes yeux chantaient

    Et moi je dansais

    Et tes yeux chantaient

    Et moi je dansais

    Et tes yeux qui chantent

    Et moi qui danse

    Et tes yeux qui chantent

    Et tout recommençait

     

     

     

    Réalisation : Toby Gendron

    Arrangements : Alain Sauvageau

    Claviers et programmations : Alain Sauvageau

    Guitares : Pierre Coté 

    Basse : Mario Légaré

    Percussions : Michel Dupire

    Chœurs : Loulou Hughes, Richard Séguin, Luce Dufault

    Paroles : Marc Chabot | musique : Richard Séguin

  • Paroles & musique : Zachary Richard

    Je n'entends plus, derrière ma porte verrouillée 
    Je n'ai rien vu, un corbeau cachait mon soleil
    Ne m'en parlez pas, foutez moi la paix
    Laissez moi tranquille, ce n'est jamais arrivé.


    Un cœur fidèle, un diamant qui brille,
    Une lumière si belle pour éclairer la nuit.
    Un cœur fidèle, y a rien qui vaut autant,
    Ni le palais d'un roi, ni de l'or, ni de l'argent.


    Au bord de la rivière, le feu reflète sur mon acier,
    J'ai prié, mais je ne pouvais empêcher.
    Toute la nuit, user les graines de mon chapelet,
    Sous les chênes, j'entends encore son petit cri.


    Un cœur fidèle, un diamant qui brille,
    Une lumière si belle pour éclairer la nuit.
    Un cœur fidèle, y a rien qui vaut autant,
    Ni le palais d'un roi, ni de l'or, ni de l'argent.


    Jeunes gens de la campagne, prenez exemple sur mon erreur,
    Une tache de sang, imprégnée pour toujours.
    L'amour sauvage, promesses cassées, farouche désire,
    Les gageures du péché, partir sans pouvoir revenir.


    Un diamant qui brille,
    Une lumière si belle pour éclairer la nuit.


    Un cœur fidèle, y a rien qui vaut autant,
    Ni le palais d'un roi, ni de l'or, ni de l'argent.
    Un diamant qui brille,
    Pour éclairer la nuit.
    Un diamant qui brille

  • Tous ces mots que je porte

    Tous ces maux que je dis

    Et qui frappent à la morte

    De mes vieux incendies

     

    Tous les mots que je mords

    Pour briser le silence

    Tous ces maux d’outre corps

    Qui hantent mes souffrances

    Je te les donne

     

    Tous ces mots que j’écris

    Et que je crie

    Quelque fois pour personne

    Tous ces mots qui font mal

    Et torturent

    Comme une balle dans une blessure

    Je te les donne

     

    Tous ces mots que je perds

    Quand tu ne m’entends pas

    Ces mots qui désespèrent

    Quand je parle de toi

     

    Et tous ceux que j’invente

    Quand tu es loin de moi

    Tous ces maux que je chante

    Et qui brûlent ma voix

    Je te les donne

     

    Tous ces mots que j’écris

    Et que je crie

    Quelque fois pour personne

    Tous ces mots qui font mal

    Et torturent

    Comme une balle dans une blessure

    Je te les donne

     

    Tous ces mots qui s’envolent

    En emportant ma vie

    Tous ces maux sans parole

    Pour te dire qui je suis

     

    Tous ces mots que j’écris

    Et que je crie

    Quelque fois pour personne

    Tous ces mots qui font mal

    Et torturent

    Comme une balle dans une blessure

    Je te les donne

     

    Pour que tu me pardonnes

     

    Réalisation : Toby Gendron

    Arrangements : Alain Sauvageau

    Guitares : Mario Toyo Chagnon

    Claviers : Alain Sauvageau

    Basse : Claude Gay

    Batterie : Richard Perrotte

    Enregistré et mixé au studio Montana

    Par Toby Gendron

    Paroles : Roger Tabra| musique : Sylvain Michel

  • Je suis une forteresse oubliée

    Dans un désert, y'a des millions d'années

    Comme un endroit où il fait toujours froid

    J' sais pas où tu vas, mais j'irai avec toi

     

    Je suis une fleur d'oranger

    Née dans un jardin abandonné

    Comme un soleil qui se coucherait sur toi

    Même si t'y vas pas, j'irai avec toi

     

    Nous allons faire des milliards de choses

    Cent mille enfants et presque autant de roses

    Nous allons nous faire que du bien sur la terre

    Et même ailleurs, si jamais tu préfère

     

    Je suis une tigresse délaissée

    Par un lion qu' avait trop d' vanité

    Mais ce soir, j'suis toute seule devant toi

    Et je tremble pour la première fois

     

    Je suis une fleur de cerisier

    Tu m' as cueillie, collée dans ton cahier

    Et maintenant, qu'est-ce qu'on fait, dis-moi

    Des p'tites filles ou des milliers d' dégâts ?

     

    Nous allons faire des milliards de choses

    Cent mille enfants et presque autant de roses

    Nous allons nous faire que du bien sur la terre

    Et même ailleurs, si jamais tu préfère

     

    Nous allons faire des milliards de choses

    Cent mille enfants et presque autant de roses

    Nous allons nous faire que du bien sur la terre

    Et même ailleurs, si jamais tu préfère

     

    Nous allons nous faire que du bien sur la terre

    Et même ailleurs, si jamais tu préfère

     

    Réalisation : Sylvain Clavette/Michel Pépin

    Arrangement : Michel Pépin

    Guitare, basse : Michel Pépin

    Batterie, percussions, claviers : Sylvain Clavette

    Chœurs : Luce Dufault

    Enregistré et mixé au studio Frisson

    Mixage : Luc Papineau assisté de don Murnaghan

    Prise de son : Luc Papineau assisté de don Murnaghan

    Paroles : Thierry Séchan | musique : Daniel Lavoie

  • There are oceans we will never sail

    There are mountains we will never climb

    There are mysteries we can`t understand

    And words we will never rhyme.

     

    There are places we will never see

    And there is not much we really know for sure

    But when I lay my head on your shoulder every night

    I could never, never ask for more

     

    Chorus

     

    There`s no deeper love then mine for you

    There `s no finer thing than a love that is true

    And baby you `re the reason

    For everything I do

    It`s my love, my gift to you

     

    There are rivers we will never cross

    There are valleys , valleys deep and wide

    But when I lay my head on your shoulder every night

    I could never, never ask for more

     

    Chorus

     

    We may wonder what we’ve missed  

    Could there be a better love than this…

    It`s my love 

    My gift to you

    It`s my love 

    My gift to you

     

     

    Réalisation : Sylvain Clavette/Michel Pépin

    Arrangements : Sylvain Clavette/Michel Pépin

    Guitares, basse : Michel Pépin

    Batterie, percussions, claviers : Sylvain Clavette

    Enregistré et mixé au studio Frisson

    Mixage : Michel Pépin assisté de Don Murnaghan

    Prise de son : Luc Papineau, Sylvain Clavette, assisté de Don Murnaghan

    Paroles : Maribeth Derry | Musique : Daniel Lavoie

  • Je m’appelle Solitude

    C’est un prénom, pas une habitude

    C’est un regard détaché sur les gens

    Quand on n’aime que toi depuis deux mille ans

     

    Je M’appelle Loneliness

    Un petit nom comme une caresse

    Un baiser sur tes doigts brûlants

    Quand la nuit se noue entre nos draps blancs

     

    Aime-moi, aime-moi

    Comme si tu m’avais inventée

    Comme si tu m’avais dessinée

    Sur une nappe en papier d’argent

    Aime-moi, aime-moi

    De l’aube jusqu’à la fin des temps

    Aime-moi, aime-moi

     

    Je m’appelle Soledad

    Un nom qui court comme une cascade

    Un soleil sur l’océan

    Quand le ciel rougit en nous écoutant

     

    Aime-moi, aime-moi

    Comme si tu m’avais inventée

    Comme si tu m’avais dessinée

    Sur le sable ou sur les ailes du vent

    Aime-moi, aime-moi

    De l’aube jusqu’à la fin des temps

    Aime-moi, aime-moi

     

    Aime-moi, aime-moi

    Comme si tu m’avais inventée

    Comme si tu m’avais dessinée

    Comme si j’étais un rêve d’enfant

    Aime-moi, aime-moi

    De l’aube jusqu’à la fin des temps

    Aime-moi, aime-moi

     

    Réalisation : Toby Gendron

    Arrangements : Alain Sauvageau

    Guitares : Mario Toyo Chagnon

    Claviers : Alain Sauvageau

    Batterie : Richard Perrotte

    Basse : Claude Gay

    Chœurs : Luce Dufault

    Enregistré et mixé au studio Montana

    Par Toby Gendron

    Paroles : Thierry Séchan | musique : Daniel Lavoie

  • Y’a des nuits qui brûlent en désir de partir

    Des nuits du poème qui reste oublié

    Y’a des nuits qui brillent sur les routes en dérives

    Des nuits de gloire que le temps a frôlé.

     

    Y'a des nuits sans sommeil, parce que trop fatigué

    Des nuits bonté qui ne demandent rien

    Y'a des nuits qui veillent une radio à la main

    Des nuits de rires pour se consoler.

     

     Y’a ma nuit
    Y’a ma nuit

    Ma nuit à moi

    Qui attend ton retour

    Y’a ma nuit
    Y’a ma nuit

    Y’a ma nuit qui attend

     

     Y'a des nuits d'horizon qui rêvent d’aller ailleurs

    Des nuits sans bruit qui s'arrêtent au dépanneur

    Y'a des nuits qui refont les pas vers la maison

    Des nuits clair de lune glissant sur les moissons.

     

     Y’a des nuits d’amitié qui ne reviennent plus

    Des nuits qui piétinent là au coin des rues

    Y’a des nuits qui s'indiffèrent dans leurs chaînes dorées

    Des nuits qui s'endorment le cœur fermé.

     

    Mais…

     

    Y’a ma nuit
    Y’a ma nuit

    Ma nuit à moi

    Qui attend ton retour

    Y’a ma nuit
    Y’a ma nuit

    Y’a ma nuit qui attend

     

    X 2

     

    Réalisation : Toby Gendron

    Arrangements : Alain Sauvageau

    Claviers et programmations : Alain Sauvageau

    Guitares acoustiques : Toyo 

    Guitares électriques : Toby Gendron

    Basse : Mario Légaré

    Batterie : Richard Perrote

    Chœurs : Richard Séguin, Luce Dufault

    Paroles & musique : Richard Séguin

  • Jusqu’à la fin de mes tourments 

    au dernier cri de ma colère 

    quand j'aurai eu cent mille amants 

    quand j'aurai vu toutes les mers

     

    Au dernier feu de mes forets 

    dans les forets de mon regard 

    au plus profond de mes secrets 

    au plus secret de ma mémoire

     

    Je garderai toujours toujours

    toujours comme une blessure d'amour

     

    J'ai navigue vers les étoiles 

    j'ai découvert des continents 

    touché le bien connu le mal 

    mordu le ciel a pleines dents

     

    J'ai traverse le désespoir 

    jusqu'aux déserts de la souffrance 

    mais dans tout ce que j'ai pu voir 

    en attendant la délivrance

     

    Je garderai toujours toujours

    toujours comme une blessure d'amour

     

    jusqu'au plus haut sommet du vent 

    à la croisée de tous les âges 

    quand j'aurai su pourquoi le temps 

    s'est repose sur mon visage

     

    Jusqu'au sommeil de mes délires 

    à la frontière du grand silence 

    quand il faudra nous endormir 

    comme des enfants dans l'innocence

     

     

    Je garderai toujours toujours 

    toujours comme une blessure d'amour, (bis)

     

    Je garderai toujours toujours 

    pareille a la beauté des jours 

    toujours je garderai toujours 

    en moi... Une trace de toi.

     

     

    Réalisation : Toby Gendron

    Arrangements : Alain Sauvageau

    Claviers : Alain Sauvageau

    Guitares : Toyo

    Basse : Claude Gay

    Batterie : Richard Perrote

    Mixé et enregistré au Studio Montana

    Prise de son et mixage : Toby Gendron 

    Paroles : Roger Tabra | Musique : Dan Bigras

  • Je t'écris de la main gauche

    Celle qui n'a jamais parlé

    Elle qui hésite, elle est si gauche

    Que je l'ai toujours caché

     

    Je la mettais dans ma poche 

    Et là elle broyait du noir

    Elle jouait avec les croches

    Et s'inventait des histoires

     

    Je t'écris de la main gauche

    Celle qui n'a jamais compté

    Celle qui faisait des fautes

    Du moins on l'a raconté

     

    Je m'efforçais de la taire

    Pour trouver le droit chemin

    Une vie sans grand mystère

    Où l'on ne se donne pas la main.

     

    Des mots dans la marge étroite

    Toutes tremblants qui font des dessins

    Je me sens si maladroite

    Mais pourtant je me sens bien

     

    Tiens voila c'est ma détresse

    Tiens voila c'est ma vérité

    Je n'ai jamais eu d'adresse

    Rien qu'une fausse identité

     

    Je t'écris de la main bête 

    Qui n'a pas le poing serré

    Pour la guerre elle n'est pas prête

    Pour le pouvoir n'est pas douée

     

    Voila que je la découvre

    Comme un trésor oublié

    Une vie que je recouvre

    Pour des sentiments égarés

     

    On prend tous la même ligne droite

    C'est plus court ha oui c'est plus court

    On ne voit pas qu'elle est étroite

    Il n'y a plus de place pour l'amour

     

    Je voulais dire que je t'aime

    Sans espoirs et sans regrets

    Je voulais dire que je t'aime, t'aime

    Parce que ça sonne vrai

     

    Réalisation : Toby Gendron

    Arrangements : Donald Meunier avec la participation des musiciens ci-dessous

    Guitares : Donald Meunier

    Basse : Kevin De Souza

    Claviers : Michel Ferrari

    Batterie : Serge Durocher

    Enregistré au studio Piccolo par Toby Gendron

    Mixé au studio Montana par Toby Gendron

    Paroles : Danielle Messia/Musique : Danielle Messia/Jean Fredenucci

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